Parfois, on attend qu’une situation de crise se présente pour réfléchir avec plus de sérieux à prendre son destin en main et démarrer son propre projet entrepreneurial. Que la crise soit générale comme la crise économique, ou spécifique telle une dispute avec le patron, ou un coup de bleu qui déchire ce sentiment d’appartenance à l’entreprise où on a travaillé des années durant.

Et c’est là que le déclic se déclenche. On a soudain envie de prendre sa vie en main. Une envie qui nous presse, nous tourmente jour et nuit, telle où nécessité dont tout dépend. Et là, les obstacles différent. Certains jeunes aspirants ont déjà concocté leur idée d’entreprise, mais attendaient cette poussée d’adrénaline pour la mettre à exécution ou simplement une aide financière pour se lancer sur le site suivant. D’autres, se retrouvent avec cette envie grandissante d’ouvrir leur propre boite, mais n’ont toujours pas décidé de  l’idée. C’est pour cette deuxième catégorie que cet article s’adresse avec ces idées d’affaires qui cartonnent à l’étranger à l’heure qu’il est, mais qui sont toujours vierges en France. Si vous cherchez l’inspiration, vous êtes au bon endroit. Ces idées, en plus d’être bonnes et originales, sont génératrices de valeur ajoutée, car répondent à un besoin quelconque de la société. C’est une condition essentielle qui doit être respectée par toute idée business pour qu’elle soit digne d’exécution.

Une boutique de friperie pour des articles de mode de luxe

Mettons nous dans le contexte pour comprendre l’intérêt de ce concept. Les dressings des femmes modernes regorgent de belles choses : des articles de luxe encore neufs, car pas trop portés. On y trouve des chaussures Louboutin quasi neuves, une robe de cocktail raffiné portée une seule fois, des sacs et des fourrures pour lesquels ces dames ont craqué, mais dont vienne rarement l’occasion de les porter. Mais avec la crise économique, les femmes ont plus de mal à sortir leur chéquier à chaque fois que l’envie les y incite. Pourquoi ne pas les mettre en contact entre elles pour échanger. Tout le monde sort gagnant de cette histoire.

Il vous suffira de louer un petit garage ou une boutique dans un quartier quelconque pour démarrer cette activité. Un conseil pourtant : soyez intransigeant sur la qualité des articles que vous exposerez. N’acceptez que les articles qui représentent un intérêt réel, pour ne pas faire du mal à l’image de votre boutique. Les vêtements seront pris par vous en dépôt-vente pour une durée d’un mois grand max. Ils seront rendus si personne ne les achète, le cas contraire, vous avez droit à un pourcentage important des ventes réalisées.

Une boutique d’échantillon gratuit

Je vous vois vous exclamer : « comment va-t-on générer de l’argent avec des échantillons gratuits ? »

Je vous explique. Ce concept est apparu en Chine sous le nom d’enseigne « Sampleplaza », se concrétise dans une salle d’exposition où l’on expose des produits nouveaux  qui ne sont pas encore lancés sur le marché. Les visiteurs de la boutique peuvent tester ces produits, à condition qu’ils paient un abonnement annuel fixe, et remplissent un formulaire sur chaque échantillon pris (généralement, on a droit à 5 produits à l’issu de chaque visite). Du côté des fabricants, ils paient une commission à Sampleplaza, en contre parti de l’exposition de leur produit et augmenter leur chances de vente par la suite.

Des jardineries qui vendent à petits prix

Avec la crise économique dont les effets se sont répandus partout dans le monde, le consommateur est de plus en plus attentif aux prix, et en perpétuelle recherche de produits low-cost. Les produits de jardinage sont peu concernés par cette politique de réduction de prix, parce que le jardinage est toujours considéré une activité extravagante dans le monde occidental, alors que ce n’est plus le cas, en réalité. Il est temps d’introduire l’économie de masse au monde du jardinage. Résultat : des prix plus compétitifs et à la portée du citoyen moyen. Comment ? Des locaux modestes dans les périphéries des villes, un nombre d’employés restreint, et des objectifs de marges étroitement observés.

« L’info a un prix » n’a jamais eu plus de sens !

Womzone a réfléchi « outside the box ». C’est la première plateforme où l’on paye pour obtenir l’information, et où l’on est payé pour en donner. Comment peut-on appeler cela ? Le marché de l’information ?

Le concept est simple : Les visiteurs du site se divisent en deux parties : ceux qui détiennent de bonnes informations, des bons plans, des astuces…etc. et d’autres qui en cherchent. Ceux qui en cherchent déposent une annonce. Le site prend une commission de 30% sur les transactions réalisées.

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